La sérigraphie
Si on comprend le principe de la sérigraphie, il s’agit de se procurer le matériel nécessaire :
Un ordinateur pour créer l’illustration du papier transparent pour préparer ce qu’on appelle un « typon » une lampe pour insoler l’image sur l’écran l’écran en question, les miens sont en bois les produits permettant d’insoler et de dépouiller les cadres (écrans) de la peinture pour « imprimer » l’image sur le support les supports : le papier et le textile Nous aurons autant d’écrans que nous avons de calques dans le logiciel, et surtout autant d’écrans que de couleurs souhaitées.
Un petit peu d’écologie
Pour travailler, et dans un souci de cesser de gaspiller, je me procure du papier recyclé comme support, du textile biologique et/ou local et des encres basées sur des pigments naturels.
D’un point de vue personnel, j’essaie de limiter la voiture au maximum, d’acheter avec le moins d’emballage et je n’utilise plus de papier aluminium ou sulfurisé, d’essuie-tout, de bouteille de liquide en plastique ou de coton ni de cotons-tiges.
C’est dans cet état d’esprit que s’inscrit ma production.
Etant plutôt active sur ces questions environnementales, je fais partie d’une association rochelaise, EchoMer, où nous participons au ramassage de déchets sur le port de notre belle ville et au tri pour le recyclage des bouchons de liège, entre autres activités. L’association, dans une perspective d’économie circulaire, utilise également des déchets pour fabriquer des nouveaux produits (sacs, porte monnaie et autres objets à voir sur leur site) dans un esprit de revalorisation pour un cercle vertueux de notre consommation.
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